1) Quel est l'impact du secteur des transports sur l'environnement?
Les transports ont toujours été considérés comme essentiels dans la politique commune de l'Union européenne, dans la mesure où ils permettent la libre circulation des personnes, des services et des biens au sein des États membres. Lorsque nous parlons de transport, nous devons prendre en compte 3 facteurs: les aspects environnementaux, humains et économiques.
La France et l’Italie ont des tunnels autoroutiers ou ferroviaires qui permettent aux marchandises et aux personnes de traverser l’arc alpin et une autoroute côtière qui favorise la connexion entre la région Ligurienne et la Côte d'Azur. Étant la seule possibilité de connexion en raison de la morphologie du territoire, les tunnels deviennent une sorte d'entonnoir où il est nécessaire de passer. Par conséquent, en concentrant tous les échanges possibles de biens et de personnes, ils ont un impact environnemental significatif sur les zones limitrophes.
La présence de ces tunnels ne modifie pas seulement la morphologie du territoire, mais peut avoir des conséquences sur la santé humaine et sur la qualité de l'air que nous respirons. En fait, le trafic est l’une des principales sources de pollution : en plus d’être la source de la plupart des émissions d’oxyde nitrique (NOx) et de poussières fines, il est également la principale source d’émissions de CO2. De plus, le frottement des pneus, par exemple, contribue à la production de particules fines qui se retrouvent dans l'environnement.
Pour ces raisons, il arrive très souvent que ces infrastructures de communication soient fortement entravées par la population locale, selon ce que l’on appelle le syndrome NIMBY (Not in My Back Yard). Certaines interventions d’intérêt public sont donc nécessaires mais pas dans le propre territoire, en raison de possibles contre-indications sur l’environnement local.
C'est le cas, par exemple, de la construction du TGV Turin-Lyon, fortement entravée par la population locale et le mouvement NO TAV. Pour eux, la création de cette infrastructure pourrait augmenter le niveau de radioactivité dans la région, en raison de la présence d'uranium et d'amiante dans les roches. L'uranium implique la présence de radon, un gaz radioactif plus lourd que l'air provenant de la désintégration du métal.
La France et l’Italie ont des tunnels autoroutiers ou ferroviaires qui permettent aux marchandises et aux personnes de traverser l’arc alpin et une autoroute côtière qui favorise la connexion entre la région Ligurienne et la Côte d'Azur. Étant la seule possibilité de connexion en raison de la morphologie du territoire, les tunnels deviennent une sorte d'entonnoir où il est nécessaire de passer. Par conséquent, en concentrant tous les échanges possibles de biens et de personnes, ils ont un impact environnemental significatif sur les zones limitrophes.
La présence de ces tunnels ne modifie pas seulement la morphologie du territoire, mais peut avoir des conséquences sur la santé humaine et sur la qualité de l'air que nous respirons. En fait, le trafic est l’une des principales sources de pollution : en plus d’être la source de la plupart des émissions d’oxyde nitrique (NOx) et de poussières fines, il est également la principale source d’émissions de CO2. De plus, le frottement des pneus, par exemple, contribue à la production de particules fines qui se retrouvent dans l'environnement.
Pour ces raisons, il arrive très souvent que ces infrastructures de communication soient fortement entravées par la population locale, selon ce que l’on appelle le syndrome NIMBY (Not in My Back Yard). Certaines interventions d’intérêt public sont donc nécessaires mais pas dans le propre territoire, en raison de possibles contre-indications sur l’environnement local.
C'est le cas, par exemple, de la construction du TGV Turin-Lyon, fortement entravée par la population locale et le mouvement NO TAV. Pour eux, la création de cette infrastructure pourrait augmenter le niveau de radioactivité dans la région, en raison de la présence d'uranium et d'amiante dans les roches. L'uranium implique la présence de radon, un gaz radioactif plus lourd que l'air provenant de la désintégration du métal.
2) Existe-t-il des solutions pour réduire la pollution liée aux transports?
L'Union européenne cherche à atteindre les objectifs fixés en matière de changement climatique, par exemple en encourageant l'utilisation de modes de transport plus écologiques, le développement de carburants de substitution ou en encourageant l'utilisation innovante de véhicules électriques autonomes.
Par exemple, afin de limiter partiellement la pollution générée par les véhicules routiers, certaines machines électriques autonomes ont été conçues, alimentées à l'électricité et sans qu'il soit nécessaire de les conduire. Ce projet est encore à l’étude mais pourrait changer complètement le trafic routier.
En considérant que ce dernier est la principale source de pollution avec une production d'environ 71% des émissions totales de CO2, l'utilisation partagée des véhicules électriques automatisés pourrait constituer une solution durable pour les déplacements urbains.
La société Navya, par exemple, est une société française spécialisée dans la construction de ces véhicules autonomes, électriques et robotisés. C'est une solution future possible qui pose de nombreux problèmes éthiques et urbains.
Récemment, la société Tesla a également conçu un modèle de camion électrique, le Tesla Semi, qui sera mis en vente en 2019. Ce camion ne sera pas simplement une alternative aux camions électriques classiques, mais il facilitera aussi le conducteur, à travers l'utilisation du pilote automatique. Ce dernier peut être utilisé pour organiser des convois de camions ou en cas de maladie du conducteur.
Par exemple, afin de limiter partiellement la pollution générée par les véhicules routiers, certaines machines électriques autonomes ont été conçues, alimentées à l'électricité et sans qu'il soit nécessaire de les conduire. Ce projet est encore à l’étude mais pourrait changer complètement le trafic routier.
En considérant que ce dernier est la principale source de pollution avec une production d'environ 71% des émissions totales de CO2, l'utilisation partagée des véhicules électriques automatisés pourrait constituer une solution durable pour les déplacements urbains.
La société Navya, par exemple, est une société française spécialisée dans la construction de ces véhicules autonomes, électriques et robotisés. C'est une solution future possible qui pose de nombreux problèmes éthiques et urbains.
Récemment, la société Tesla a également conçu un modèle de camion électrique, le Tesla Semi, qui sera mis en vente en 2019. Ce camion ne sera pas simplement une alternative aux camions électriques classiques, mais il facilitera aussi le conducteur, à travers l'utilisation du pilote automatique. Ce dernier peut être utilisé pour organiser des convois de camions ou en cas de maladie du conducteur.
3) Quel est l'impact du secteur des transports sur l'économie?
D'un point de vue économique, les transports sont fondamentaux pour développer les échanges, créer des emplois et promouvoir la croissance économique d'un pays.
Il est nécessaire de s'en occuper rigoreusement car ils jouent un rôle fondamental pour le marché et pour la qualité de vie des citoyens qui l'utilisent.
Bien qu’ils représentent un coût de maintenance, les transports de l’UE au cours des dernières années ont continué à contribuer de manière significative à la prospérité du pays, en fournissant des emplois à environ 10 millions de personnes et en générant une part importante du produit intérieur brut ( PIB).
Il est nécessaire de s'en occuper rigoreusement car ils jouent un rôle fondamental pour le marché et pour la qualité de vie des citoyens qui l'utilisent.
Bien qu’ils représentent un coût de maintenance, les transports de l’UE au cours des dernières années ont continué à contribuer de manière significative à la prospérité du pays, en fournissant des emplois à environ 10 millions de personnes et en générant une part importante du produit intérieur brut ( PIB).